Marché du Bidon-Ville
- Keygan
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Marché du Bidon-Ville
Voici un marché vibrant au cœur d'un quartier populaire de Nely. Les étals sont abondamment garnis de produits divers, éclairés par les lumières fluorescentes des enseignes en néon qui ajoutent une touche de mystère et de couleur à l'atmosphère nocturne. Les bâtiments entassés les uns sur les autres créent un labyrinthe vertical de passerelles et d'escaliers, rappelant les décors complexes et détaillés d'un Nely futuriste. Des véhicules aériens sillonnent le ciel obscur, renforçant le sentiment d'un monde avancé technologiquement. La foule dense de citadins, habillés de manière flamboyante, parcourt les allées animées. Un smog épais qui enveloppe le paysage urbain ajoute une dimension de pauvrete.
"Je te ferai désiré l’ardeur de mon âme."

- Hakan Ashwalker
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Marché du Bidon-Ville
Les camions roulaient lentement, le rugissement des moteurs déchirant la nuit comme le grondement lointaint du tonerre. Hakan Ashwalker était debout à l’avant du convoi, son bras cybernétique rougeoyant dans l’obscurité comme un phare sur le bord du lac. Le marché du bidonville de Nely, d’habitude grouillant de vie et d’activité, semblait figé dans une étrange suspension, ses habitants fixant l’arrivée des véhicules avec une inquiétude visible aux yeux.
Hakan descendit du premier camion, sa carrure imposante projetant une ombre démesurée sous les néons vacillants. Les chaînes qui pendaient à son manteau rouge cliquetaient doucement tandis qu’il avançait dans la foule, ses hommes, probablement des dizaine de millier, débarquant derrière lui dans un grondement métallique. Ils portaient des armes de toutes sortes, fusils d’assaut, bâtons électrifiés et quelques-uns même des lames plasmo-cybernétiques.
- Écoutez-moi bien! lança-t-il, sa voix rauque amplifiée par un micro intégré à son bras cybernétique. C’est fini, icitte. Tout l’monde dans les camions. Pas d’questions, pas d’chialage. Vous avez cinq minutes.
Un murmure d’agitation monta dans la foule. Quelques-uns obéirent immédiatement, trop habitués à se plier à l’autorité pour résister. Mais d’autres, le visage marqué par la fatigue et la colère, restèrent plantés là, immobiles.
- Vous pensez quoi, là? ajouta Hakan, un sourire sans humour étirant ses lèvres. Que vous avez l’choix? Pas d’temps pour vos états d’âme. Hein! Même moi j’ai pas le l’choix d’être là!
Alors que ses hommes commençaient à faire sortir les gens de force, fouillant les étals et les bâtiments environnants. Les protestations commençaient à éclater. Une vieille femme s’accrocha à une table, elle suppliaitt qu’on lui laisse ses maigres possessions. Un jeune homme, à peine adulte, se jeta devant un soldat, les poings serrés de rage. Hakan soupira en voyant l’agitation monter.
- Osti d’cave… marmonna-t-il avant d’intervenir.
- Si tu tiens tant à mourir ici, reste là à japper comme un cabot! grogna-t-il en fixant le jeune homme de la lueur de son œil cybernétique. Mais si tu veux pas finir en steak pour les rats, monte dans l’truck!"
Le jeune hésita, la peur et la colère se disputant sur son visage, mais Hakan n’attendit pas de réponse. Il fit un signe à l’un de ses hommes, qui eux l’attrapaient le jeune lors de son court moment d’hésitation et le jetèrent dans un camion. D’autres tentèrent de résister, brandissant des armes de fortune ou criant à l’injustice. Ils furent abattus sans pitié. Les coups de feu éclatèrent dans l’air comme des coups de marteau sur le cœur d’une communauté déjà brisée.
Hakan serra les dents. Il détestait ça, mais son visage restait de marbre. Ces gens allaient être relogés, du moins selon les promesses. Mais il savait, au fond de lui, que la réalité serait bien moins reluisante.
Une fois les camions remplis, le marché était désert. L’odeur du sang et de l’huile brûlée flottait dans l’air. Hakan monta à nouveau dans son véhicule, le regard sombre fixé sur la route devant lui. Derrière lui, les lumières du bidonville s’éteignaient une à une, engloutissant cette partie de la ville dans le silence et l’oubli.
- Avancez. On n’a pas l’temps pour les fantômes.
Suite: Etrémiter de la cité d'elpaza
Hakan descendit du premier camion, sa carrure imposante projetant une ombre démesurée sous les néons vacillants. Les chaînes qui pendaient à son manteau rouge cliquetaient doucement tandis qu’il avançait dans la foule, ses hommes, probablement des dizaine de millier, débarquant derrière lui dans un grondement métallique. Ils portaient des armes de toutes sortes, fusils d’assaut, bâtons électrifiés et quelques-uns même des lames plasmo-cybernétiques.
- Écoutez-moi bien! lança-t-il, sa voix rauque amplifiée par un micro intégré à son bras cybernétique. C’est fini, icitte. Tout l’monde dans les camions. Pas d’questions, pas d’chialage. Vous avez cinq minutes.
Un murmure d’agitation monta dans la foule. Quelques-uns obéirent immédiatement, trop habitués à se plier à l’autorité pour résister. Mais d’autres, le visage marqué par la fatigue et la colère, restèrent plantés là, immobiles.
- Vous pensez quoi, là? ajouta Hakan, un sourire sans humour étirant ses lèvres. Que vous avez l’choix? Pas d’temps pour vos états d’âme. Hein! Même moi j’ai pas le l’choix d’être là!
Alors que ses hommes commençaient à faire sortir les gens de force, fouillant les étals et les bâtiments environnants. Les protestations commençaient à éclater. Une vieille femme s’accrocha à une table, elle suppliaitt qu’on lui laisse ses maigres possessions. Un jeune homme, à peine adulte, se jeta devant un soldat, les poings serrés de rage. Hakan soupira en voyant l’agitation monter.
- Osti d’cave… marmonna-t-il avant d’intervenir.
- Si tu tiens tant à mourir ici, reste là à japper comme un cabot! grogna-t-il en fixant le jeune homme de la lueur de son œil cybernétique. Mais si tu veux pas finir en steak pour les rats, monte dans l’truck!"
Le jeune hésita, la peur et la colère se disputant sur son visage, mais Hakan n’attendit pas de réponse. Il fit un signe à l’un de ses hommes, qui eux l’attrapaient le jeune lors de son court moment d’hésitation et le jetèrent dans un camion. D’autres tentèrent de résister, brandissant des armes de fortune ou criant à l’injustice. Ils furent abattus sans pitié. Les coups de feu éclatèrent dans l’air comme des coups de marteau sur le cœur d’une communauté déjà brisée.
Hakan serra les dents. Il détestait ça, mais son visage restait de marbre. Ces gens allaient être relogés, du moins selon les promesses. Mais il savait, au fond de lui, que la réalité serait bien moins reluisante.
Une fois les camions remplis, le marché était désert. L’odeur du sang et de l’huile brûlée flottait dans l’air. Hakan monta à nouveau dans son véhicule, le regard sombre fixé sur la route devant lui. Derrière lui, les lumières du bidonville s’éteignaient une à une, engloutissant cette partie de la ville dans le silence et l’oubli.
- Avancez. On n’a pas l’temps pour les fantômes.
Suite: Etrémiter de la cité d'elpaza

- Ignis Pyreborn
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Marché du Bidon-Ville
Avant
Ignis descendait lentement les marches métalliques qui surplombaient le Marché du Bidon-Ville. Son uniforme rouge éclatant contrastait vivement avec le chaos désordonné en contrebas. Il ajusta un bouton de sa veste d’un geste précis, le regard fixé sur les étals illuminés par des enseignes néon. À ses côtés, une marée silencieuse d’ouvriers en uniforme gris le suivait, formant une masse disciplinée et presque effrayante dans cet environnement autrement chaotique.
Les camions roulaient lentement derrière eux, le rugissement des moteurs éclatant comme un écho lointain. Ignis s’arrêta au pied de l’escalier et fit un signe discret à un contremaître qui se tenait à proximité. L’homme, visiblement nerveux mais déterminé à exécuter les ordres, s’approcha rapidement. Ignis, sans un mot, tendit un rouleau de plans soigneusement enroulés et scellés de l’emblème de Nely.
- Chaque structure, chaque poutrelle, chaque boulon doit être démonté et chargé selon les instructions précises indiquées ici. Pas de déchets, pas de retard. Vous avez cinq heures. Toute erreur sera considérée comme une insubordination directe. Sa voix était calme, mais le ton autoritaire ne laissait place à aucune contestation.
Le contremaître acquiesça vivement et déroula les plans. Pendant ce temps, Ignis porta son regard sur la foule bigarrée qui continuait à vaquer à ses occupations, inconsciente du destin imminent de leur sanctuaire improvisé. Il croisa les bras, ses pupilles rougeoyantes capturant chaque détail. Les ouvriers commencèrent leur ouvrage comme une horloge bien huilée, dépièçant les structures avec une précision clinique. Des étincelles volèrent dans l’air vicié tandis que les poutres étaient sciées, les panneaux démontés et les métaux triés. Ignis observa en silence, les bras croisés derrière son dos. Ses doigts tapotèrent un rythme lent sur son avant-bras, révélant une impatience contenue.
Il se retourna enfin vers le contremaître, qui se précipitait d’un groupe à l’autre pour vérifier l’avancement des opérations.
- N’oubliez pas l’ordre des priorités, ajouta-t-il. Les éléments structurels principaux d’abord, puis le reste. L’objectif est la vitesse et l’efficacité, pas l’esthétique.
Son regard glissa une dernière fois sur le paysage du Marché, qui disparaissait sous l’ordre implacable qu’il avait imposé. Une odeur de métal chauffé et de tension saturait l’air. Ignis fit volte-face, remontant les marches pour disparaître à nouveau.
apresLes camions roulaient lentement derrière eux, le rugissement des moteurs éclatant comme un écho lointain. Ignis s’arrêta au pied de l’escalier et fit un signe discret à un contremaître qui se tenait à proximité. L’homme, visiblement nerveux mais déterminé à exécuter les ordres, s’approcha rapidement. Ignis, sans un mot, tendit un rouleau de plans soigneusement enroulés et scellés de l’emblème de Nely.
- Chaque structure, chaque poutrelle, chaque boulon doit être démonté et chargé selon les instructions précises indiquées ici. Pas de déchets, pas de retard. Vous avez cinq heures. Toute erreur sera considérée comme une insubordination directe. Sa voix était calme, mais le ton autoritaire ne laissait place à aucune contestation.
Le contremaître acquiesça vivement et déroula les plans. Pendant ce temps, Ignis porta son regard sur la foule bigarrée qui continuait à vaquer à ses occupations, inconsciente du destin imminent de leur sanctuaire improvisé. Il croisa les bras, ses pupilles rougeoyantes capturant chaque détail. Les ouvriers commencèrent leur ouvrage comme une horloge bien huilée, dépièçant les structures avec une précision clinique. Des étincelles volèrent dans l’air vicié tandis que les poutres étaient sciées, les panneaux démontés et les métaux triés. Ignis observa en silence, les bras croisés derrière son dos. Ses doigts tapotèrent un rythme lent sur son avant-bras, révélant une impatience contenue.
Il se retourna enfin vers le contremaître, qui se précipitait d’un groupe à l’autre pour vérifier l’avancement des opérations.
- N’oubliez pas l’ordre des priorités, ajouta-t-il. Les éléments structurels principaux d’abord, puis le reste. L’objectif est la vitesse et l’efficacité, pas l’esthétique.
Son regard glissa une dernière fois sur le paysage du Marché, qui disparaissait sous l’ordre implacable qu’il avait imposé. Une odeur de métal chauffé et de tension saturait l’air. Ignis fit volte-face, remontant les marches pour disparaître à nouveau.

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